Test 2

Dans une interview concédée à The Economist au mois de mai , le président français Emmanuel Macron avait évoqué la possibilité de déployer des troupes en Ukraine, en partant du principe que “la Russie ne peut pas gagner cette guerre”

Des déclarations qui reprennent vigueur depuis quelques jours. En effet, à Paris et à Londres on soupèse cette possibilité.

Pour le président français, les pays alliés de Kiev devront repenser jusqu’où ils sont prêts à aller, comme ils l’ont fait à d’autres occasions depuis le début de l’invasion en février 2022.

“Si les Russes rompent les lignes de front, s’il y a une demande ukrainienne (…) il faudra légitimement se poser la question”, avait déclaré M. Macron.

“Je n’exclus rien parce que nous sommes face à quelqu’un qui n’exclut rien”, avait-t-il dit, dans une allusion au président russe Vladimir Poutine.

Dans ce sens, il avait regretté les “doutes” des alliés lorsqu’il s’agit d’établir des “limites” et a souligné que la “crédibilité” dépendait dans une large mesure du fait de ne pas donner une visibilité totale à ce que l’on est ou n’est pas disposé à faire. “Sinon, nous sommes plusDans une interview concédée à The Economist au mois de mai , le président français Emmanuel Macron avait évoqué la possibilité de déployer des troupes en Ukraine, en partant du principe que “la Russie ne peut pas gagner cette guerre”

Des déclarations qui reprennent vigueur depuis quelques jours. En effet, à Paris et à Londres on soupèse cette possibilité.

Pour le président français, les pays alliés de Kiev devront repenser jusqu’où ils sont prêts à aller, comme ils l’ont fait à d’autres occasions depuis le début de l’invasion en février 2022.

“Si les Russes rompent les lignes de front, s’il y a une demande ukrainienne (…) il faudra légitimement se poser la question”, avait déclaré M. Macron.

“Je n’exclus rien parce que nous sommes face à quelqu’un qui n’exclut rien”, avait-t-il dit, dans une allusion au président russe Vladimir Poutine.

Dans ce sens, il avait regretté les “doutes” des alliés lorsqu’il s’agit d’établir des “limites” et a souligné que la “crédibilité” dépendait dans une large mesure du fait de ne pas donner une visibilité totale à ce que l’on est ou n’est pas disposé à faire. “Sinon, nous sommes plus